Collection Sm. On SEst Aimé À 16 Ans (2/2)
La chance est-elle avec moi ?
De retour dans mon village de bouseux après sept ans dabsence, pour enterrer une grand-tante, je tombe sur Jade la jeune fille, pardon la jeune femme que jai dépucelée lorsque nous étions proches de nos 17 ans.
Cest en linvitant à lauberge de notre ville ayant été repris par un grand chef et qui le développe, que je linvite, ma chambre étant au-dessus.
Lorsque je suis parti pour Lyon, jai passé mes diplômes darchitecte, elle ma largué sans que je puisse comprendre si javais fait quelque chose de mal.
Tout ce temps passé, je métais mis dans ma tête que cétait ma courte liaison avec celle quelle appelle sa tantine qui lavait fait fuir.
Cest quand elle éclate de rire lorsque jévoque ces moments dans larrière-boutique du petit magasin alimentaire quelle tenait dans ces années-là qui me montrent autre chose.
Ce sont des marques à ses poignets qui mintriguent et qui déclenchent ses confidences.
Jétais trop doux avec elle qui ressentait le besoin dêtre martyrisé, voire plus lorsquelle soulève sa brassière et quelle me montre subrepticement ses seins où je vois des traces rouges et des petites croutes de cicatrisation.
Jade prend linitiative, fine mouche se doutant que si je lavais invité cest pour quelle finisse les jambes écartées sur mon lit, elle me propose de me rendre chez elle.
Elle ma expliqué quelle avait trouvé la plénitude sexuelle avec un camionneur qui était sur les routes et que cest volontairement quelle se laisse martyriser trouvant dans le sadisme, ce qui lui manquait avec moi.
Elle ajoute même et bien dautres gars de la région.
Pour les autres gars, je peux comprendre aisément, il bavait littéralement pour elle, comme moi, dailleurs, dans ces années-là.
Mais un chauffeur routier certainement un gars au gros bras qui doit la malaxer de tous les côtés dans ses grosses paluches, là jai du mal à comprendre comme elle peut sabaisser à ça.
« Es-tu partant ? »
Ce sont les trois mots quel emploi pour me proposer de rejoindre sa pièce, comme elle le dit, quil lui a construit dans la maison où ils habitent.
Je sais quici cest fichu, je veux voir la finalité de ce taré qui a trouvé le moyen damener ma copine à de tels extrêmes.
Je vais chercher mes papiers et les clefs de ma voiture qui est en charge sur le parking.
Je tattends, je veux que notre histoire trouve une fin même si pour cela je vais tromper mon maître.
Ton maître ?
Chez moi je texpliquerais.
Jusquà une petite maison certainement lune des anciennes gares de la ligne désaffectée à la lisière de la forêt, nous roulons dans le silence relatif de son moteur électrique.
Dans la nuit, mes phares entretiennent une atmosphère lourde, mais nous arrivons rapidement.
Tu es venue à pied, comment as-tu fait, pour être à lheure à notre rendez-vous ?
Je suis venue avec mon vélo, je lai posé à quelques mètres de lauberge, je voulais téviter de te déplacer.
Elle ouvre, la porte et je rentre dans une pièce avec une cuisine au fond.
Elle mentraine vers une porte quelle franchit en me tenant par la main.
Voilà, tu es chez mon maître, cest là que je vis lorsquil est là.
Elle allume et une vraie salle de se présente devant moi.
Ça te choque !
Regarde pour mes seins, cest là que Charles me les cloue avec ces planches.
Elle hôte sa marinière et va jusquà se dénuder, elle sapproche de la planche, ses fesses sont, dans le même état que ses seins, ravager de traces comme sur ses poignets.
Elle pose ses seins sur la planche fixée à bonne hauteur.
Jai le temps de voir des dizaines de trous de clous montrant les nombreuses fois où elle a dû se fait clouer.
Je suis obnubilé par ce que je vois, car lorsquelle prend une deuxième planche avec quatre clous préalablement fixés, la posant sur ses seins.
Je comprends quentre les deux, ils vont être écrasés, mais aussi obligatoirement percés par les deux pointes, dans chacun deux.
Prends le marteau sur la table à côté des cravaches, des bougies et des godes.
Cloue-moi et après tu pourras profiter de mon corps comme tu le désires.
Sexuellement jaccepte tous.
Il finit toujours par me sodomiser.
Ça marrange, il veut que jaie un , mais je fais tout pour retarder léchéance.
Voilà ce que jaime et que mapporte mon maître.
Depuis le premier jour où je lai rencontré, il domine mon corps et mon cerveau.
Cest hors de question que je fasse lamour sans avant avoir soufferte.
Tu peux y aller, sers-toi du marteau pour me clouer et après baise-moi, jen ai envie.
Dès quil reviendra, je dirais à mon maître que je lai trompé, je vais passer un divin moment, car il a horreur que je prenne une telle initiative et je prendrais doublement mon pied.
Elle va trop loin, comment peut-on être tombé si bas ?
Attends ton taré de maître et fait toi faire ce que tu sembles aimer.
Je tourne les talons et je quitte cette maison de tarer et dire que cest elle que je pensais baiser une dernière fois dans la chambre de lauberge où nous avons dîné.
Il est minuit lorsque je me couche sans pouvoir trouver le sommeil.
Dans la nuit, je gamberge, jai dit que javais tendance à avoir des moments de domination avec mes maîtresses.
Je me tourne, me retourne, jallume la lumière, jai pris une douche en entrant, jy retourne.
Rien à faire à plus dune heure, jai pris ma décision.
Je remets mes affaires et je retourne à ma voiture.
Devant la maison de Jade, une dernière hésitation et je frappe.
Il y a du temps et enfin la lampe au-dessus de moi sallume.
À travers la porte jentends.
Qui est-ce.
Cest moi, cest Gabriel.
La porte souvre, Jade est recouvert avec un peignoir ras sa chatte.
Je lui prends la main et lentraine dans sa pièce comme elle me la dit.
Je veux bien moccuper de toi, si cest ça que tu aimes, mais je filme avec mon portable.
Tu peux filmer si ça te fait plaisir, je sais que tu garderas ce film pour toi.
Veux-tu que je remette mes seins sur la planche ?
Je veux bien des choses, mais ça cest bestial, tu mas fait voir les marques sur tes poignets, avec quoi te les a-t-il faits ?
Avec ces bracelets au bout de ces chaines fixées à ce palan électrique.
Il mattache et me fait monter pour que mes pieds touchent à peine le sol.
Après, tu vois dans cette panoplie au mur, il choisit un fouet pour me frapper sur tous mon corps.
Je lui enlève son peignoir.
Comme pour ses seins, sa chatte épilée est ornée de bijoux sexuelle traversant ses grandes lèvres.
Son maître est vraiment un dégénéré pour accepter de mutiler un si joli corps.
Je suis venu pour ça, je lui fixe les bracelets à chaque poignet.
Tu vois, au sol les autres bracelets fixent les à mes mollets.
Oui, comme ça.
Maintenant, fais monter les chaines pour que je sois en croix.
Oui, comme ça.
Maintenant frappe partout où tu en as envie avec lun les fouets qui sont accrochés sur le mur.
Je suis presque dans un état second, pour la première fois je vais fouetter une femme, ma femme, pardon celle que jaurais voulue quelle devienne ma femme si javais compris ses aspirations sexuelles.
Je prends une cravache et je mavance vers ses rondeurs.
Elles ont pris du volume avec les années passantes.
Jaurais plus denvie de les caresser comme par le passé.
Les embrasser, les câliner, les écarter, bien quen croix comme le lait entravé en ce moment, il me serait facile de lui bouffer la chatte, mais ces putains de piercings ont tendance à me débecter.
Je frappe, timidement un petit coup sur chaque fesse.
Plus fort connard, si tu crois que tu vas me faire jour avec tes coups de lopette.
Mon maître lui sait me fouetter jusquau plaisir maximum.
Je prends ça comme une insulte, je sens que si je veux la dominer, il va falloir que je passe la vitesse supérieure.
Je pose la cravache.
Je vois mon portable posé à côté des fouets filmant la scène.
Une sorte de fouet avec de nombreuses lanières et des petites boules de bois mattire.
Oui, le chat à neuf queues, jaime, mais frappe, soit un homme, pas comme il y a sept ans où tu me baisais avec des pincettes.
Chaque fois, je sortais de ton lit insatisfaite.
Mais tu jouissais, cest vrai au début sétait difficile, mais après tu tenvoyas en lair.
Frappe au lieu de dire des conneries, la simulation tu connais, nous les femmes on est passé maitresse pour simulé comme je lai fait avec tous les mecs qui pensaient me satisfaire.
Jai dû attendre Charles qui a su me dominer et me satisfaire pour la première fois.
Frappe !
Je vois rouge, certainement davoir été berné.
Je frappe, je frappe, je frappe et je frappe encore...
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